Miss Alexia Tarabotti est devenue Lady Alexia Woolsey. Un jour qu'elle se réveille de sa sieste, s'attendant à trouver son époux gentiment endormi à ses côtés comme tout loup-garou qui se respecte, elle le découvre hurlant à s'en faire exploser les poumons. Puis il disparaît sans explication... laissant Alexia seule, aux prises avec un régiment de soldats non-humains, une pléthore de fantômes exorcisés, et une reine Victoria qui n'est point amusée du tout. Mais Alexia est toujours armée de sa fidèle ombrelle et des dernières tendances de la mode, sans oublier un arsenal de civilités cinglantes. Et même quand ses investigations pour retrouver son incontrôlable mari la conduisent en Écosse, le repère des gilets les plus laids du monde, elle est prête !
Note : 3,5 / 5
Le premier tome m'avait réconcilié avec la bit-lit, c'est donc avec plaisir que je me suis lancée dans la suite. Et quel bonheur de retrouver cet univers uchronique que j'avais adoré et ses personnages qui nous dévoilent dans ce deuxième tome des secrets et des passés insoupçonnés.
La fin du premier tome semblait promettre un avenir radieux et stable pour notre héroïne tant au niveau sentimental que professionnel, mais c'était sans compter sur l'étrange phénomène d'humanisation qui se propagea à Londres. Ses habitants surnaturels ce sont en effet vus redevenir humains du jour au lendemain, plus de longues canines et de beauté démoniaque pour les vampires, plus de crocs et de poils pour les loup-garous, et quant aux fantômes, ils ont tout simplement disparu. Si le phénomène n'a pas duré, il a tout de même su inquiéter tout ce beau petit monde de la nuit, et c'est Alexia qui va se charger d'éclaircir le mystère.
Ce deuxième tome est ainsi une nouvelle enquête touchant les êtres surnaturels et Alexia va de nouveau devoir affronter les questions que ce peuple suscite. Certaines personnes, comme le Club Hypocras dans le premier tome, sont toujours à la recherche de moyens susceptibles de contrôler cette population un peu trop puissante et de plus en plus importante. Alexia va à nouveau se retrouver au milieu à cause de sa nature de paranaturelle mais cette fois aussi à cause de son tout jeune mari loup-garou.
Mais si cette suite reprend les mêmes thèmes, une nouvelle fois sous forme d'enquête, elle n'est pas du tout similaire au premier tome car l'intrigue va nous mener en Ecosse et dévoiler le passé d'un personnage devenu héros depuis son mariage avec Alexia : Conall Maccon. Le premier tome posait les bases d'une société très hiérarchisée mais peuplée d'êtres surnaturels, avec la suite l'auteure en profite pour étoffer son univers. On apprend ainsi des tas de nouvelles choses sur les loup-garous : leurs coutumes, les histoires qu'ils se transmettent de génération en génération, et j'ai une nouvelle fois été totalement charmée par tant d'imagination.
On rencontre aussi de nouveaux personnages comme Geneviève Lefoux que j'ai tout simplement adoré, une scientifique et féministe qui va sans aucun doute vous faire autant d'effet qu'elle en a fait à Alexia et qui compense l'absence du Professeur Lyall dans ce tome (souvenez vous, c'est mon petit chouchou) Ce tome, en général, est très centré sur les femmes vu qu'Alexia va devoir emmener sa sœur et son amie Mlle Hisselpenny avec elle, de quoi en profiter pour parler de tous les thèmes qui les touchent à savoir le mariage, la jalousie, la disparité homme/femme, l'amour... tout ça d'une façon très naturelle et intéressante.
Et une nouvelle fois Gail Carriger fait mouche avec son style très comique et parfois grinçant, son monde uchronique est toujours aussi riche et elle arrive toujours aussi bien à intégrer des faits réels et les mélanger à son Londres alternatif. On découvre avec plaisir de petits clin d’œils, des choses que l'on reconnait mais qui ne sont au final pas vraiment les mêmes dans l'univers d'Alexia, on se plait à imaginer quel sera le futur, à quel point sera-t-il différent du nôtre ? J'ai aussi adoré tous ces moments où l'auteure s'attarde sur les tenues que portent les personnages, nous les décrivant avec précision et parfois dérision, ou encore sur les goûters et dîners qui vous mettront l'eau à la bouche. De quoi finir de vous immerger dans l'univers du Protectorat de l'Ombrelle.
Gail Carriger m'a ainsi à nouveau transporté avec son récit, son style et son monde. En lisant ce deuxième tome je me suis réellement rendue compte à quel point j'étais attachée à ce Londres surnaturel et aux personnages que l'on y croise. Je vais sans aucun doute me plonger avec un égal plaisir dans tous les autres tomes de la série.
La fin du premier tome semblait promettre un avenir radieux et stable pour notre héroïne tant au niveau sentimental que professionnel, mais c'était sans compter sur l'étrange phénomène d'humanisation qui se propagea à Londres. Ses habitants surnaturels ce sont en effet vus redevenir humains du jour au lendemain, plus de longues canines et de beauté démoniaque pour les vampires, plus de crocs et de poils pour les loup-garous, et quant aux fantômes, ils ont tout simplement disparu. Si le phénomène n'a pas duré, il a tout de même su inquiéter tout ce beau petit monde de la nuit, et c'est Alexia qui va se charger d'éclaircir le mystère.
Ce deuxième tome est ainsi une nouvelle enquête touchant les êtres surnaturels et Alexia va de nouveau devoir affronter les questions que ce peuple suscite. Certaines personnes, comme le Club Hypocras dans le premier tome, sont toujours à la recherche de moyens susceptibles de contrôler cette population un peu trop puissante et de plus en plus importante. Alexia va à nouveau se retrouver au milieu à cause de sa nature de paranaturelle mais cette fois aussi à cause de son tout jeune mari loup-garou.
Mais si cette suite reprend les mêmes thèmes, une nouvelle fois sous forme d'enquête, elle n'est pas du tout similaire au premier tome car l'intrigue va nous mener en Ecosse et dévoiler le passé d'un personnage devenu héros depuis son mariage avec Alexia : Conall Maccon. Le premier tome posait les bases d'une société très hiérarchisée mais peuplée d'êtres surnaturels, avec la suite l'auteure en profite pour étoffer son univers. On apprend ainsi des tas de nouvelles choses sur les loup-garous : leurs coutumes, les histoires qu'ils se transmettent de génération en génération, et j'ai une nouvelle fois été totalement charmée par tant d'imagination.
On rencontre aussi de nouveaux personnages comme Geneviève Lefoux que j'ai tout simplement adoré, une scientifique et féministe qui va sans aucun doute vous faire autant d'effet qu'elle en a fait à Alexia et qui compense l'absence du Professeur Lyall dans ce tome (souvenez vous, c'est mon petit chouchou) Ce tome, en général, est très centré sur les femmes vu qu'Alexia va devoir emmener sa sœur et son amie Mlle Hisselpenny avec elle, de quoi en profiter pour parler de tous les thèmes qui les touchent à savoir le mariage, la jalousie, la disparité homme/femme, l'amour... tout ça d'une façon très naturelle et intéressante.
Et une nouvelle fois Gail Carriger fait mouche avec son style très comique et parfois grinçant, son monde uchronique est toujours aussi riche et elle arrive toujours aussi bien à intégrer des faits réels et les mélanger à son Londres alternatif. On découvre avec plaisir de petits clin d’œils, des choses que l'on reconnait mais qui ne sont au final pas vraiment les mêmes dans l'univers d'Alexia, on se plait à imaginer quel sera le futur, à quel point sera-t-il différent du nôtre ? J'ai aussi adoré tous ces moments où l'auteure s'attarde sur les tenues que portent les personnages, nous les décrivant avec précision et parfois dérision, ou encore sur les goûters et dîners qui vous mettront l'eau à la bouche. De quoi finir de vous immerger dans l'univers du Protectorat de l'Ombrelle.
Gail Carriger m'a ainsi à nouveau transporté avec son récit, son style et son monde. En lisant ce deuxième tome je me suis réellement rendue compte à quel point j'étais attachée à ce Londres surnaturel et aux personnages que l'on y croise. Je vais sans aucun doute me plonger avec un égal plaisir dans tous les autres tomes de la série.
Tu sembles avoir beaucoup aimé mais tu lui as décerné la note de 3,5/5, que manquait-il à ton goût ?
RépondreSupprimer3,5/5 ça correspond à un 14-15/20 donc je trouve ça pas mal. C'est principalement à cause de l'absence du professeur Lyall et du petit déjà vu au niveau du récit qui est encore une enquête basée sur les mêmes thèmes. Donc forcément j'ai été emballée car j'ai retrouvé ce que j'avais aimé dans le premier, mais d'un autre côté ça reste un peu trop similaire peut être ! Mais j'avoue avoir du mal à noter mes lectures car mon degré d'appréciation dépend de ce que m'a fait sentir le livre, chose qui n'est pas facile à traduire dans une chronique. Et je compare aussi mes lectures entre elles et j'ai définitivement ressenti moins de choses en lisant ce livre que ceux qui ont 4/5 sur mon blog. Voilà, gros pavé d'explication pour pas grand chose ahah
SupprimerJ'ai lu le tome 1 il y a une éternité, il faut que je m'y remette :) surtout que j'ai toute la saga dans ma PAL.
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