Vivants - Isaac Marion

Vivants
Isaac Marion

R est un zombie. Il n'a pas de nom, pas de souvenirs, pas de pouls. Mais il rêve. Dans les ruines d'une ville dévastée, R rencontre Julie. Elle est vivante, palpitante. C'est un jaillissement de couleurs dans un camaïeu de gris. Et sans savoir pourquoi, R choisit de ne pas la tuer. C'est le début d'une étrange relation, à la fois tendre et dangereuse. Ce n'était jamais arrivé. R bafoue les règles des Vivants et des Morts. Il veut respirer à nouveau, il veut vivre, et Julie va l'aider. Mais leur monde ne se laissera pas transformer sans combattre.

Note : sans commentaires...

Vu que tout le monde semble l'avoir adoré, il faut bien que je vous dise a quel point je l'ai détesté. C'était tellement une bonne idée, alors voir à quel point elle a été détruite par ce livre brouillon, ça m'a juste dégoûté.

Tout d'abord, il faut quand même se le dire, ce ne fut pas chose aisée que de se faire à la première personne. Bah oui, on est quand même dans la tête d'un zombie qui n'est pas fichu de se rappeler son nom, mais qui vous raconte ce qu'il pense, et parfois ce qu'il pense est tellement compliqué que... bah ça colle pas ! C'est tellement contradictoire ! Mais la pilule fini par passer, et la on est devant un nouvel obstacle : les souvenirs de Perry. On ne comprend ab-so-lu-ment rien ! Ok c'est fait exprès qu'ils soient "confondus", mais c'est mal foutu.

Bon, le livre en soit n'est pas mauvais, il aurait même pu être très bon... si la fin n'avait pas tout gâché. La fin, c'est certainement ce qu'il y a de plus brouillon dans le livre. Tout se règle en deux-trois mouvements sans que l'on ne comprenne vraiment comment. Pleins de questions restent sans réponses. Les méchants sont punis, les gentils épargnés. Bon, je ne vais pas tout vous raconter, mais non, franchement ! nul de chez nul !

J'ai vraiment été heureuse de l'avoir emprunté a la médiathèque et de ne pas avoir eu la bêtise de l'acheter, ce livre.

J'ai aimé
L'idée de base

Je n'ai pas apprécié
Le récit à la première personne qui était, selon moi, vraiment très mal choisit pour ce livre
Les flashback de Perry qui viennent pourrir le récit
La fin brouillon